Kirsty Bell, « Vivre le présent de l’objet » : l’écriture comme état d’être chez Louise Warren, dans La présence : discours et voix, image et représentation, Presses universitaires de Rennes, La Licorne 121, 2016.
À lire : des entretiens avec les finalistes de la catégorie Essais des Prix du Gouverneur général 2016. Pour Louise Warren.
ouvrir l’éclair, seize poèmes. pré # carré éditeur.
Dans le numéro 40 des Cahiers littéraires Contre-jour, consacré à Anne Hébert, le texte « Rouler dans des ravins de fatigue ».
La vie flottante. Une pensée de la création a été retenu comme finaliste aux Prix du Gouverneur général 2016 dans la catégorie Essais.
Louise Warren a reçu le prix Littérature, pour La vie flottante. Une pensée de la création, ainsi que le prix Ambassadeur Télé-Québec des Grands Prix Desjardins de la culture de Lanaudière 2016.
Participation au 26e Salon de la revue de Paris, à la Halle des Blancs-Manteaux, les 14, 15 et 16 octobre 2016, au stand de pré # carré éditeur. Lancement du recueil ouvrir l’éclair le samedi 15 octobre, de 15 h à 17 h.
Invitée par l’organisme Escales des lettres dans la région Nord Pas-de-Calais, du 23 au 28 mai. Voir le programme du festival international Lettres nomades sur le site ou Facebook.
Extrait du programme : « Archéologue et cartographe du réel, attentive à chaque mouvement de l’instant, Louise Warren aime collectionner, archiver et inventorier. Depuis son premier titre, L’Amant gris, la poète fouille cette intensité du présent, capte les multiples facettes des objets, des paysages, des êtres et de leurs gestes pour en déceler des bribes de vie et des fragments de vérité qu’elle juxtapose dans des recueils et des anthologies mêlant finesse, intimité et subtilité. Toujours en parcourant et interrogeant les lieux, les corps, le poème et la pensée d’où l’écriture surgit et s’exprime, l’auteure québécoise poursuit également une réflexion sur la création à travers des essais « hybridement poétiques » dans une quête constante de la formule juste, de l’équilibre sonore et visuel, de la précision du regard et de la maîtrise des émotions. »
Participation au Marché de la poésie de Paris, à la place Saint-Sulpice, du 8 au 12 juin. Présence au stand des éditions du Noroît le jeudi 9 de 16 h à 17 h, le vendredi 10 de 16 h à 17 h et le dimanche 12 de 17 h à 18 h. Le samedi 11, lancement et vin d’honneur à 17 h, au même stand.
En septembre et octobre 2015, Louise Warren a été en résidence d’écriture à Lisbonne. Lire « L’atelier de Lisbonne » dans L’Unique (bulletin de l’Union des écrivaines et des écrivains du Québec, mis en ligne le 15 janvier 2016).
Lancement de l’anthologie Femmes rapaillées, dirigée par Isabelle Duval et Ouanessa Younsi, aux éditions Mémoire d’encrier, le 8 mars prochain, Journée internationale des femmes, à la Maison des écrivains (3492 avenue Laval), à compter de 18 h. Texte de Louise Warren : « Commencer, prendre acte. »
Parler à la nuit », atelier de poésie avec la classe de Kateri Lemmens, et conférence « La vie flottante », à l’invitation de Camille Deslauriers, dans le cadre du programme de l’UNEQ Parlez-moi d’une langue!, le 16 mars 2016, à l’Université du Québec à Rimouski.